Et si on se faisait (vraiment) plaisir au travail ? C’est ce que proposent en filigrane les différents acteurs du management que nous présentons dans cette nouvelle édition de notre lettre de veille et d’analyse. La proposition est alléchante, d’autant qu’elle ne tombe pas dans le piège si commun de la focalisation sur le stress, le burn-out et autres risques psychosociaux.

Comme l’écrit Gilles Charpenel, auteur d’un récent ouvrage sur le sujet : “Quand je parle de plaisir, je ne parle pas de confort. Une personne qui fait de l’alpinisme dans des conditions difficiles se fait assurément plaisir mais elle n’est pas dans sa zone de confort. On fait à tort un amalgame entre les deux notions. On peut se faire plaisir en se dépassant, en apprenant quelque chose sur soi ou sur le monde.”

Le plaisir dont il est ici question est plutôt celui qu’expérimentent les hommes et les femmes qui ont la chance de travailler dans des entreprises qui les incitent à prendre des responsabilités, relever des défis, réaliser des idées et poursuivre des projets. Ce plaisir-là est un démultiplicateur d’engagement et peut-être même le plus sûr moyen de faire de l’entreprise une aventure à vivre pleinement !

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Bonne lecture !